Une police en sous-effectif pour une île en paix

En 1943, le magistrat Sir Harilall Vaghjee quitte Rodrigues après avoir exercé ses fonctions pendant trois ans. À son départ, il pose avec le contingent complet de policiers en poste sur l’île. Il y a seulement six policiers pour une population de 11 885 habitants.

Cette image est révélatrice de la situation de la police à Rodrigues à cette époque. L’île est encore relativement peu peuplée et le crime est relativement rare. Il n’est donc pas nécessaire d’avoir une police importante.

Cependant, cette situation a également ses inconvénients. Une police en sous-effectif peut être moins efficace pour lutter contre la criminalité. Elle peut également être moins visible, ce qui peut donner aux criminels un sentiment d’impunité.

Il est difficile de dire si le vice avait ou non gagné Rodrigues en 1943. Cependant, il est clair que la police était en sous-effectif pour faire face à la criminalité, quelle que soit son ampleur.

Dans les années qui ont suivi, la population de Rodrigues a augmenté et la criminalité a également augmenté. La police a donc dû s’adapter à cette nouvelle réalité. Aujourd’hui, la police de Rodrigues compte environ 100 agents, ce qui est toujours inférieur à la moyenne de la police mauricienne.

Malgré ses effectifs limités, la police de Rodrigues fait un travail remarquable pour maintenir l’ordre sur l’île. Elle est confrontée à des défis importants, mais elle est déterminée à protéger les habitants de Rodrigues.

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